Vagabondages littéraires

Des Hussards à Patrice Jean, de Dominique de Roux à Richard Millet, de Louis-Ferdinand Céline à Jean Cau, de Gabriel Matzneff à Jean-Pierre Montal, de Jean Parvulesco à Jean-Benoît Puech, d’André Fraigneau à Michel Mourlet, d’Hergé à Olivier Mathieu, ces Vagabondages littéraires illustrent une évidence soigneusement occultée par ceux qui, en France, détiennent les clés du pouvoir culturel : la grande littérature française, depuis la Seconde Guerre mondiale, est nécessairement de droite. Et cela parce que les vertus cardinales de la droite sont la liberté et le style, le refus de l’inféodation à quelque catéchisme que ce soit, le goût de la beauté et de la singularité.

Ces écrivains, dont beaucoup ont été les commensaux de Michel Marmin, nous invitent à redresser la tête face à la conjuration ignominieuse de tout ce qui, dans les médias, dans les ministères et dans les conseils d’administration, veut en finir avec la civilisation française, mais aussi avec le simple plaisir de la lecture sans lequel il ne saurait, justement, y avoir de grande littérature ! Alors ces chroniques roboratives pourraient bien constituer des armes de précision dans la guerre culturelle qui nous est imposée.

 

 

Connu et reconnu pour ses critiques cinématographiques et pour ses travaux de scénariste, Michel Marmin a été parallèlement un chroniqueur littéraire engagé dans la défense des valeurs où se reconnaissent les grands écrivains de droite, même lorsqu’ils se croient de gauche, tel Roger Vailland. Il est l’auteur de nombreux ouvrages historiques, critiques et poétiques, dont, chez Auda Isarn, Chemins de Damas et d’ailleurs et Où Nestor Burma rencontre l’Aristo.

 

20,00 

La presse en parle

Michel Marmin déploie tous ses talents de passeur pour transmettre sa passion des paysages, des femmes, de la chair, du style. En un mot, de la littérature !
(Daoud Boughezala, Eléments)
Le sentiment qu'on éprouve à lire les portraits peints par Michel Marmin  se nourrit de la chair vive et de l'empathie pour l'intensité intérieure, exhaussée, des modèles. Loin des analyses réductrices, jetées à la ferraille de la médiocratique tondeuse qui égalise le gazon en fauchant les fleurs qui dépassent, les Vagabondages de Marmin sont ascensionnels, toujours à flanc de mont : qu'il rencontre Vidalie ou Rimbaud, Millet ou Eibel, il communique le goût des cimes.

(Michel Mourlet, La Nouvelle Revue Universelle)

A ranger à côté des Que lire ? de notre regretté Jean Mabire !

(Jean-Paul Lorrain, Terre&Peuple)
Poids 340 g